J'ai photographié le ruban de coquillages, car je ne pouvais pas croire (je ne peux toujours pas !) à la disparition définitive de Minima. Si les marées ont détruit son oeuvre éphémère, les matériaux qu'elle avait utilisés sont toujours là, au bord des vagues, pour me prouver que je n'ai pas rêvé...
Dominique Hasselmann 29/09/2012 07:42
Le vent qui souffle 29/09/2012 10:08