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Présentation

  • : le vent qui souffle
  • : Un souvenir surgissait parfois des mots comme un djinn d'une jarre, un souvenir imaginé, un oubli imaginaire... Le jeu de l'oubli dans l'écriture consistait à donner une forme à ces souvenirs blancs qui s'échappaient comme des fantômes...
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Autoportrait

         Qui étais-je vraiment? /

Ballet d'oiseaux

          au bord de la mer  

Impossible livre

      Mots

    déploiement géométrique, sonore, temporel

Les mots/"Sons" dessus dessous?/Où (hou!hou!) sont les sons?/Sur les ondes/Tout se jouait entre deux mots qui se fuyaient/Ecrits déchirés/Les mots me manquent/Mots à profusion/Fond et forme/L'art de combiner les sons/Passerelles de mots/Sous le couvert des mots /Ma voix résonne dans le désert!/C (Qu) antique/Mots creusés-creusets /Mots interdits /Mots /                       

       Motifs

     Leitmotiv/    

         Ombres

     Point de rencontre /Aboli bibelot /Portrait/  

         Images

     Images découpées/La dernière image de lui/ Autoportrait /  

          la lettre i

     Démolition/DESPERADO/Eperdument/  

           immense

     Un océan à traverser/Plans sur la comète, rêverie géante.../  

            improvisations

     Nécessité fait loi?/ Chevauchée fantastique/  

             invisibles frontières  

     Moi et/ou moi/Acrostiche/Du trajet au destin (tragédie?)/Elle ourlait le bord des précipices.../Incertains rivages/L'usine/Couloirs du temps/  

          itinéraires

     Rose des vents/Prendre le large/

23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 00:04

   Non, je n’étais pas passée sans transition de l’état instable et anxieux de mon enfance à l’apaisement des années qui s’étaient succédé ensuite jusqu’à mon départ pour L. en suivant une orbite aussi régulière que celle des corps célestes. Cette impression résulte d’un effet de perspective dû à l’inclinaison prise par ma mémoire. Si je me rapproche de la période que j’ai appelée « newtonienne » de ma vie, je constate qu’elle est parsemée elle aussi de trous et de bosses. Néanmoins, l’impression dominante que m’a laissée mon enfance reste incontestablement la confrontation inconfortable au mystère insoluble de la vie et de la mort, alors que l’âge de raison et les années qui ont suivi ont permis que je campe sur un sol plus solide...      ENFANCE

 

 

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